S’est levée la tempête Van Reeth! Chroniqueur en colère de France Inter .

Depuis 10 ans, de nombreux chroniqueurs ont quitté France Inter ou l’émission de Charline Vanhœnacker. Certains chroniqueurs quittent l’émission en raison de problèmes de santé mentale et physique, de conflits professionnels ou familiaux. Depuis le début de la pandémie, certains d’entre eux ont quitté le navire pour des raisons temporaires, car ils avaient une autre activité professionnelle ou permanente qui était liée à la tension des autres de l’équipe. Les changements au sein de l’équipe, tels que les modifications du réalisateur, des attachés de production, de la presse et d’autres membres, rendent la tâche plus complexe et perturbe les habitudes de certains d’entre eux. 

Ils ont affirmé qu’ils ne pouvaient pas exercer leur métier dans ces conditions. Avec des émissions annulées en raison de grèves, une productrice fragile et stressée par le travail, jusqu’à se rendre complètement malade et être absente de l’antenne, le numéro deux devait gérer les autres chroniqueurs avec ses propres ressources. Ce travail était extrêmement difficile lorsqu’il devait préparer son spectacle en même temps que l’émission de radio. 

Particulièrement, le passage de l’émission quotidienne en hebdomadaire en septembre 2023 a été un très mauvais signal pour certains des chroniqueurs habitués qui ne pouvaient pas venir en raison de leur vie familiale ou professionnelle qui les attendait le plus souvent. 

Depuis que la direction et les programmes de France Inter ont été modifiés, certaines personnes étaient conscientes que le changement avait déjà été réalisé depuis septembre 2022, lorsque la chronique matinale de Charline Vanhœnacker est passée du quotidien à l’hebdomadaire. En mai 2023, la tension a augmenté considérablement suite à l’annonce de l’émission quotidienne en mode hebdomadaire le week-end, ce qui a conduit Alex Vizorek, le numéro deux de l’équipe, à changer de station radio en raison d’un emploi du temps qui ne lui convenait pas en raison de son rythme de vie professionnel. 

L’événement politique du 29 octobre a suscité la crainte chez certains chroniqueurs face à la mauvaise réputation qui commençait à se faire sentir au sein de l’équipe et en partie de Radio France. Ils ont décidé de ne pas reprendre l’émission en raison des débats jugés trop politiques au sein de la maison ronde, et en particulier la tension entre les médias de l’extrême droite qui utilisent les sketchs, les chroniques, les blagues et les idées de personnalité, et de prétendre que c’est l’extrême gauche qui est en jeu avec des propos insultants dans les comptes des médias privés. Les autres chroniqueurs ont réussi à s’éloigner du reste du groupe en raison de leur liberté d’expression ou de leur conscience que le service public est devenu une affaire d’État très importante, avec des propos. 

Après le départ de Laurence Bloch (directrice de France Inter) en juin 2023, l’atmosphère à la Maison ronde commence à évoluer considérablement depuis un an. En ce qui concerne la nouvelle programmation, de nombreuses personnes novices ne sont pas pleinement conscientes de leur signification, des programmes éducatifs et créatifs destinés à des auditeurs de tous âges. Tout sens de l’esprit d’un audiovisuel public n’a pas été perdu. Il est indéniable que le service public manque de créativité, d’éducation et de neutralité pour captiver les auditeurs. 

La Radio Rouge est désormais un lieu très politisé pour des individus qui militent au sein de certaines parties politiques et soulèvent certains problèmes qui affectent certains courants. Il est nécessaire de ramener l’esprit de l’audiovisuel à un état neutre entre une vision générale et une approche communicative qui enseigne quotidiennement aux auditeurs ou téléspectateurs, sans susciter de l’agitation causée par une certaine censure qui soulève des inquiétudes chez certaines personnes. 

Il est temps de manifester contre la dictature de la mal information communicative qui règne actuellement sur tout le pays. 

Je suggère de se rassembler devant la maison de radio ce dimanche à 16h afin de demander à Guillaume Meurice de ne pas être licencié de Radio France et de lui offrir une émission en guise de pardon pour l’avoir harcelé politiquement avec ses chroniques. De plus, je suggère à Mathieu Vidar de proposer une émission écologique et éducative avec Camille Crosnier. De son côté, Charline Vanhœnacker lui offre un Bistroscopie quotidien ainsi qu’une émission hebdomadaire avec son ami Alex Vizorek. 

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